L’ÉTRANGER

« Aujourd’hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas… » Meursault se remémore, rejoue, revit son existence à partir du moment de la mort de sa mère.
« Meursault pour moi n’est donc pas une épave, mais un homme pauvre et nu, amoureux du soleil qui ne laisse pas d’ombre. Loin d’être privé de toute sensibilité, une passion profonde, parce que tenace, l’anime, la passion de l’absolu et de la vérité. Il s’agit d’une vérité encore négative, la vérité d’être et de sentir, mais sans laquelle nulle conquête sur soi ne sera jamais possible.
On ne se tromperait donc pas beaucoup en lisant dans L’Étranger l’histoire d’un homme qui, sans aucune attitude héroïque, accepte de mourir pour la vérité. » Albert Camus 1955

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COMPAGNIE LA PAROLE DU CORPS
D’ALBERT CAMUS
Adapté et interprété par : VINCENT BARRAUD
Lumières : NICOLAS BARRAUD

La compagnie est soutenue par la Ville de Massy (91).